Le mot « séminaire » vient du latin « seminarium », c’est-à-dire «
pépinière ». C’est donc le lieu et l’institution dans laquelle des personnes
sont formés.
Au
XVIIe siècle, le concile de Trente établit le principe de séminaires pour la
formation des futurs prêtres, appelés séminaristes. Longtemps, il y avait des séminaires
propres à chaque diocèse. En raison du manque de moyens humains et financiers
ils sont aujourd’hui souvent regroupés en séminaires interdiocésains.
Le lieu est constitué comme une maison
commune, avec chambres et bureaux individuels, salles de cours, bibliothèque,
chapelle, salle à manger, foyer de détente…etc.
Un séminaire est une communauté dans laquelle
sont rassemblés des séminaristes et des prêtres qui ont reçu la mission de les
former. Dans certaines maisons, des religieuses et/ou des bénévoles s’ajoutent
à la communauté pour le service des nécessités matérielles.
Ce temps de formation compte au moins six
années de vie communautaire et d’études philosophiques, théologiques et
pastorales.
En décidant de demander son entrée au séminaire, le séminariste répond à l’appel du Seigneur. Il se rend disponible à Dieu et à l’Église pour être façonné par la grâce. L’entrée au séminaire ne signifie toutefois pas que l’on sera forcément ordonné. Tout au long de la formation, le choix de répondre à sa vocation se purifie dans le discernement. Il peut conduire aussi bien à l’engagement définitif qu’à une possible réorientation.
En décidant de demander son entrée au séminaire, le séminariste répond à l’appel du Seigneur. Il se rend disponible à Dieu et à l’Église pour être façonné par la grâce. L’entrée au séminaire ne signifie toutefois pas que l’on sera forcément ordonné. Tout au long de la formation, le choix de répondre à sa vocation se purifie dans le discernement. Il peut conduire aussi bien à l’engagement définitif qu’à une possible réorientation.
Les séminaristes de Strasbourg